La forêt semblait si tranquille cette nuit-là alors que je tombais face à des foutus chasseurs armés de balle d’argent. Pourtant je n’avais jamais tué personne, pourtant je n’avais jamais révélé ma position à qui que ce soit... Cette nuit-là, mon sang coula jusqu’à la terre, dégoulinant pendant ma fuite, pendant que je fuyais pour ma propre vie... Cette nuit... Mon pound ne cessait de s’accélérer anormalement dans ma poitrine et je m’arrêtais plaquer à un arbre pour me retenir, serrant les dents pour ravaler la douleur qui se mettait a ronger la totalité de mon corps. Je grognais alors que je sentais le reste de mon corps reprendre forme humaine douloureusement. J’enfonçais mes griffes dans le tronc afin de me retenir de hurler au meurtre et de révéler à ces foutus chasseurs ma position. Je venais tout juste de les déjouer, je n’avais pas besoin qu’ils me retrouvent pour me flanquer d’autre balle à l’intérieur de moi. Mes griffes devenaient mes ongles et c’est une fois la métamorphose retirée que je sentais l’argent prendre possession de mes mouvements. Je me retenais péniblement contre le végétal, mais je devais continuer... Je levais les yeux vers cette lune qui était devenue la source de mes cauchemars, hantant mes nuits de pleine lune alors qu’elle m’incitait à prendre forme animale. Avec les années j’avais réussi de contrôle mon envie de mettre fin à la vie de pauvre victime, mais je n’avais encore jamais réussi à rester sous ma forme humaine. Il devait être pas plus que trois heures du matin quand je me traînais dans l’ombre de la ville et réussi à me faufiler jusqu’à l’immeuble que je vivais. Main à ma côte, j’utilisais l’autre pour la glisser sur ma peau et retirer le sang sur mes doigts. J’ouvrir la porte sans pour autant lui plaquer du sang dessus et me mit à monté jusqu’à notre numéro d’appartement. Je ne sais même pas avec quelle foutue énergie j’ai réussi à me rendre là, mais au moins je n’avais croisé personne dans les couloirs. Vous imaginez la tête que les gens auraient faite en me voyant là, nue comme un verre rempli de sang et trois balles d’argent dans le corps? Pas la peine d’y pensé, je ne voudrais pas qu’une tête de con se pointe! J’arrivais à la poigner et essayais de l’ouvrir... Quelle chieuse! Elle est barrée bordel! Je déposais mon épaule contre la porte, glissant alors ma main à la sonnerie afin de pouvoir réveiller Narax... J’espérais, je souhaitais qu’il fût là. Je me laissais glissé le long de la porte, fatiguée, épuisé et ces en utilisant le peu de souffle que j’avais que je laissais entendre un '' Narax aide moi!'' Ma voix suppliante fut accompagnée de coup grâce au poing que j’avais formé avec ma main.

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Le vent qui s'infiltre par la fenêtre ouverte caresse doucement ma joue et mes cheveux. Dormir étalé sur son lit, la fenêtre grande ouverte, c'est un art sans nom. Sans parler du bien-être qu'on ressent dans ces cas-là. Je crois que je me suis endormis, la TV tourne toujours, en arrière plant, mais ça fait longtemps que je ne l'entends plus. Je crois que j'ai trop focalisé sur le chant des grillons pour écouter le ramassis de conneries que ce poste de télévision débite chaque jour. Je suis tellement bien dans les bras confortables de Morphée. Ici, j'ai l'impression de retourner tout simplement au paradis. Mais quelque chose semble m'appeler, tu sais... comme un hurlement de terreur lointain. Mais je suis si bien ici, laissez-moi tranquille merde ! Mais ça insiste, le son strident d'une sonnerie de porte commence à se faire de plus en plus claire. MA sonnerie de porte ! Je grogne et me retourne dans mon lit, manquant de me vautrer de peu " Hm... Foutez moi la paix putain ! " Grognais-je dans mon oreiller sans prendre la peine de me réveiller plus que ça. J'étais prêt à replonger quand j'entendis une voix désespérée m'appeler. Mais une vrais voie cette fois-ci et pas n'importe quelle voie, celle d'Hazher, de ma petite Hazher. Je bondis comme un fauve enragé qu'on vient d'électrocuter et sortis de mon lit sans même avoir le temps d'y penser. Je dévoras la distance qui me séparait de mon lit et de la porte d'entrée, déverrouillas la porte et attrapas, par pur réflexe, Hazher qui s’écroulât presque dans mes bras, couverte de sang, à deux doigts de s'effondrer " Merde ! Putain ! Hazher ?! Tu m'entends ?! " Luis demandais-je les yeux effrayé en prenant sa joue dans ma main. Mais un bruit dans le couloir me fit tourner la tête. " Fait chié " crachais-je entre mes dents. Je déplassat délicatement Hazher pour la poser contre le mur à coté de la porte d'entrée, par terre. Je lui soulevas le menton et l'obligeas à lever les yeux sur moi alors que mes ailes apparaissaient dans mon dos, menaçantes de promesse de ce qui allait bientôt se passer. " Hazher, écoute-moi, regarde-moi ma belle, reste éveillée, ok ? Je reviens " Je lâche son menton et me redresse, les dents jointes. Ma fureur brille dans mes yeux, brûlante. D'un geste réflexe, j'attrape le manche du balai qui traîne dans le coin, à coté de la porte. D'ordinaire, je me sers d'armes un peut plus classe que ça, mais pour ceux-là, un simple ballet devrait amplement suffire. Quant je sors sur le palier, les deux chasseurs sont déjà à mis chemin. Le regard noir, je déploie mes deux ailes autant que l'espace confiné me le permet. Je vois leurs yeux s'agrandir de surprise. Quoi ? Ne me dite pas que vous croyez encore au petit Cupidon ? Nan, par-ce que lui est moi,  on a absolument rien à voir les mecs " Bonsoirs messieurs... " Dis-je de ma voix glaciale de Gardien " J'espère que votre âme est pure, car ce soir, je vous envoie voir le big bosse ! " Joignant les mots à la parole j'envoyas une impulsion de mes grandes ailes noires en bondis comme bête féroce qu'il aurait mieux valut ne pas déranger.

L'affaire fut très vite réglée. Les chasseurs ne semblent pas encore être au courant de notre existence. Ils ne savent pas comment réagir, ni encore moins à qui ils ont affaire. Triste et énervé du geste qu'ils m'ont obligé à faire, je jette ce qui reste de mon balai sur leurs deux corps détruit " notre père n'aime pas qu'on s'en prenne à ses enfants, même s'ils sont des enfants de la nuit. Et moi non plus d'ailleurs. ". Je pivota sur moi-même et rejoins Hazher " Hé ! Ma belle, ça va aller, j'suis là " Je la pris dans mes bras, ignorent sa nudité, comme si c'était parfaitement normal et la portât jusqu’à la salle de bains. Mes mains avaient déjà pris une teinte bleue, celle de mon don de guérison. Mais je savais qu'elle avait de l'argent dans le sang et ça, je devrais l'enlever manuellement. Je la fis s’asseoir dans la grande douche et fis couler l'eau chaude pour tempérer son corps qui avait déjà chuté en température. " Reste avec moi, je vais chercher une pince, je dois t'enlever ses merdes "

En vérité, dans ma tête c'est le chaos total. Elle peut crever, là, maintenant, brutalement. Mais je suis là, hein ?! Je vais empêcher ça ? S'il vous plaît... faite que j'en sois capable... Qu'il ne soit pas déjà trop tard....

Ma voix était suppliante, contre le bois je cognais avec le peu d’énergie qui me restait. Visage contre la porte je lui demandais de l’aide alors que je m’apprêtais à perdre espoir, à perdre toute notion de temps. Il était en quelques sortent mon seul espoir et ces sous un bruit derrière la porte que j’ouvrais légèrement les yeux et sous l’ouverture, je perdis pied. J’avais donné à la porte le devoir de me supporter, me donner une petite pause à ma douleur et c’est pour cette raison que  je m’écroulais sous l’ouverture tombant dans les bras de Narax. Il semblait totalement ahuri sous la scène d’honneur qu’il assistait et sa chaleur me donna en quelque sorte une bouffée d’espoir. Je dois avouer que j’étais des plus heureuses de le voir en ce moment , que j’étais sorti de cette terrible nuit. J’ouvris les yeux vers lui affirmant que je l’entendais toujours, mon regard bleu de loup-garou encore en éveille sous la douleur que je pouvais ressentir. La cicatrisation essayait avec peine et misère de tout extraire de mon corps, mais rien à faire; les balles d’argents ne faisaient que me faire souffrir davantage, infectant le long de mes membres. Je crois que je perdis la notion du temps à un moment, car je me réveillais alors qu’il me déplaçait contre le mur. J’ouvris une nouvelle fois les yeux et je pouvais voir Narax tourbillonner devant moi comme si je venais de faire un millier de tours sur moi-même. Je réussis malgré tout à glissé ma main à sa joue pour le remercier d’une certaine façon, pour ensuite la reposé à mes côtes et répété dans un souffle '' Je reste éveillée... '' d’une certaine façon c’était des paroles en guise de promesse que je ne succomberais pas, mais je fermais les yeux afin de gardé les deux pieds sur terre. Alors que je sentais cette sorte de fatigue m’envahir, je la repoussais brusquement en glissant un doigt dans ma plaie. Je ressentis une vive douleur me tirailler jusque dans mon bassin et mon bras. Je serrais des dents et essayais de reprendre la balle pour ensuite la retirer, mais elle ne faisait que me glisser entre les doigts. Ma respiration s’accélérait, créant des tremblements de ma cage thoracique et je compris qu’en fait, je n’y arriverais pas. Ma course dans les bois avait sûrement renfoncé trop profondément la balle et voila que c’était peine perdue pour essayer de la retirer avec les doigts. Je sortis mon doigt et amenais ma main en poing serrant encore plus fort pour supporter et laisser passé la douleur et j’amenais mon poing à ma bouche. Je mordis la peau de mon pouce pour me retenir de pousser un gémissement et réveiller tout le monde. Je reposais ma tête contre le mur et fermais les yeux afin de calmé l’accélération que mon cœur après prit après cet épisode et en fait... je crois que j’ai d’ailleurs manqué un léger bout, car en fait je me laissais porté doucement par les paroles que je pouvais entendre au loin. Je me laissais prendre sans broncher et sentit une sorte de libération. Mon mal semblait s’estomper et ces grâce à ça que je me mis à ouvrir les yeux. Sa peau me semblait brûlante et c’est à ce  moment que je me mis à frémir frigorifier, moi qui avait toujours l’habitude d’avoir une température anormalement élevée. Mes dents se mire à claquer ensemble alors qu’il me déposait dans le douche et des perles d’eau se mire à me tomber dessus, caressant mon corps afin de le réchauffé. Je crois que je perdis une seconde fois la notion du temps, car c’est une fois les pinces au niveau de mes côtes que je tournais la tête vers l’ouverture de la douche. Je sentis l’argent me brûler alors qu’elle rebroussait chemin et c’est une fois à ça sorti que je réagissais en hurlant. Je crois que je n’avais jamais été aussi contente t’entendre le bruit de l’argent atterrir sur un sol. C’était collé un second souffle et je remplis la totalité de mes poumons de l’air chaud de la douche. '' BORDEL!'' Me mis-je à dire et je poursuivis en disant. '' Ça fait un mal de chien! '' Je me tournais vers Narax qui venait tout juste de me retirer la balle qui affectait le plus mon état et jeu un sourire légèrement rassuré. Rassuré de ne plus être dehors, d’être enfin chez nous. Je fermais les yeux encore un peu faibles sous tout ça et je glissais ma main sur cette de mon ami. Je lui dis dans un murmure '' Tu vas y arrivé... pour les autres?... '' C’était bien moi ça, je réussissais à m’inquiéter pour lui avant même de m’inquiéter pour moi-même. Plus que deux et voilà que j’allais être totalement libre, cette soirée allait être derrière moi. Je glissais mon pied qui se rapprocha de moi afin qu’il ait une plus grande facilité à celle incrustée au haut de ma cuisse. Je serrais des dents s’entend que le mouvement me donna une pincé de douleur et glissa mes bras entre mes jambes bloquant ceux-ci pour ne pas réagir et lui foutre une raclé. Je reposais ma tête contre la douche et fermait les yeux pour me concentrer à l’eau qui me tombait dessus au lieu de la seconde balle qu’il s’apprêtait a ressortir. ''Tu peux y allé.... ''

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Retirer une balle, ce n'est pas le problème. Dans mon ancienne vie, j'ai dû le faire plus de fois qu'il est normal de le faire pour un simple type comme moi. Au Mexique, les guerres de gangs sont très sanglantes et très très courantes... " bien sûr " Lui répondis-je d'une voie égale, comme si je ne doutais de rien. Ce qui m'inquiète, c'est surtout son teint blafard. Mes mains sont restées bleutée du début jusqu’à la fin. Je sais qu'elle possède, elle aussi, un don de guérison, mais bon... je pète le feus là, alors autant lui donner un coup de main. Je me prépare à retirer la deuxième balle. J'attrape la base de sa cuisse et serre vivement quand je fais entrer la pince dans la plaie, de manière à diffuser la douleur sur deux points. Une technique très couramment utilisée par les médecins à ce qui paraît. Je sens rapidement l’objet dur au bout de mes ciseaux, l'attrape et l'extirpe sans traîner. Je ne lâche pas sa cuisse histoire d'éviter que ça ne pisse trop le sang et soigne le troue sanguinolent de ma deuxième mains. Foutus chasseurs... Il nous en crée des emmerdes j'vous l'dis moi ! " Voilà... Tourne-toi, je vais enlever la dernière " Je la fait pivoter sur le côté et observe l'impact de la troisième balle, au niveau de son épaule, à côté de l’omoplate. " J’enchaîne, je dois me grouiller. Personne ne doit voir les corps encore étalés dans le couloir " manqueraient plus que ça tient ! Et là... je ne pourrais rien faire que courir au-delà de très grave emmerdes. On ne rigole pas avec les règles humaines. Tuer, pour eux, c'est quelque chose de très très grave... Je pose ma main sur son épaule et envois une onde de guérison tout en retirant la dernière balle. Elle me résiste quelques longues secondes, mais je finis par me la faire. Personne ne me ferra reculer, encore moins une putain de balle en argent !

La dernière balle fait un bruit sordide quand je la laisse tomber sur le sol carrelé de la douche. Mais c'est une musique de victoire. Hazher ne crèvera pas ce soir, j'y ai veillé. " V'là mazelle... " Je me relève et la regarde " Ça va aller ? J'vais te chercher des fringues. Douche toi, je m'occupe du reste " Je lui fais un petit sourire compatissant avant de faire volt face et de filer dans sa chambre. Ce n'est pas la première fois que j'y rentre, alors je peine pas à trouver de quoi lui mettre sur le dos. Bon... par contre, je m’emmerde pas à trouver des trucs bien assortis, hein ! Je pense qu'elle a autre chose à foutre que de se sentir sexy ce soir. Je rentre à nouveau dans la salle de bains et pose, sans un regard sur elle, la petite pille de vêtement à coté du lavabo.

Je dois me grouiller à planquer les deux corps et nettoyer tout notre bordel. Nan mais franchement... que-ce qu'ils leurs a pris de venir ici ?! Ils ne sont pas aussi supposés garder le surnaturel secret ? Débouler ici, armé comme ils l'étaient, avec l'intention de se faire un lycan, ça ne choque personne ?! Moi, ça m'inquiète. Je dois impérativement nettoyer les traces. Rester incognito, c'est vitale putain !

Je dois dire que ça semblait facile pour lui, mais en ce moment les balles me faisaient un de c’est mal de chien. Si ce n’avait été que de simples balles je vous dis pas, même qu’en fait ça aurait été un de ces jeux d’enfants, mais non... Il fallait vraiment que ça soit des putains de balle en argent bordel! Ma peau, ma chaire en brûlaient chaque fois que ces balles se mettaient à moindrement bougé créant un de ces tremblements incontrôlables et se goût de sang dans la bouche qui commençait à me lever le cœur. Entre les deux dernières je poussais un grognement entre mes dents et pendant qu’il la sortit, je retenais ma respiration pour que se soit moins douloureux, mais c’est la sortit qui me donna ce pincement de douleur, mais de libération en même temps. Je respirais fort, ma respiration accélérée révélait la douleur de ces petits bouts de métal, puis le dernier arriva. Je le sentais collé à mon os, à mon omoplate et je dois dire que ce n’était pas très agréable. La sensation était semblable à ressentir une vibration fatiguant, irritante. Une fois quelle se mit a sortir, je laissais passé un dernier grognement et serrait les dents pour ne pas gémir. Je retirais mes bras bloqués par mes jambes et ressentit de nouveau le sang y circuler. Malgré la presse, il avait retiré tout ça avec une pointe de délicatesse pour quand même ne pas me faire sentir le martyre davantage. Je déposais mon dos contre la vitre de la douche et soufflet un peu. Si ça allait ?! '' Hooo ... Ça va vachement mieux oui! '' Je glissais ma tête vers lui et je pouvais sentir mon autoguérison faire effet. Bien évidemment ce n’était pas aussi rapide que d’habitude vu le métal utilisé, mais bon c’était déjà mieux qu’il y avait un moment. Je le regardais et fis un petit sourire de remerciement et laissait entendre. '' Ok!... Merci Narax!... '' dis-je avec sincérité. Je pris environ 5 bonnes minutes avant de finir par me lever avec appuis et me mettre à me laver. Ouvrant la bouche pour laisser couler l’eau, j’amenais mon visage vers le bas et laissa couler l’eau afin de voir cette teinte rouge colorer le liquide limpide. Le sol était recouvert de sang et je me dis que tout était fini. Je sentais encore mes jambes tremblées, mais finies par passé. J’éteins l’eau pour ensuite attrapé une serviette pour me sécher et je la glissais autour de ma taille pour la simple sortie. J’ouvris la porte de la salle de bain afin de faire échappé le nuage qui c’était et écouta voir si Narax était revenue, mais rien. J’attrapais une crème dans la pharmacie et glissa ma jambe à la toilette afin d’avoir une meilleure vue pour en étendre la pâte transparente. Je retirais la serviette et enfila ma culotte tout en prenant soin de ne pas toucher à la pommade, puis je regardais dans le miroir, levant le bras afin de pouvoir en étendre à cet endroit plutôt mal choisi. J’enfilais mon soutif, puis me tournais dos face au miroir, mais n’arriva pas à bien voir, j’étirais la tête pour laissé entendre à Narax que j’avais besoin de lui. Je lui tendis la crème et me tourna dos à lui, glissant mes cheveux devant mon épaule droite. '' Tu pourrais simplement en mettre dessus, je n’y arrive pas?...'' Demandais-je sans réelle gêne. Je posais les yeux dans le miroir afin de le regarder et je lui demandais... '' Merci... je ne sais pas si je m’en serai sorti si tu n’avais pas ouvert la porte... ''

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