[+18]Soirée arrosée mon cher [Terminer]

Invité

Sytry, excité dans le feu de l'action, avait voulu profiter un peu avec Paimon. Mais, ce dernier lui fit un autre caprice. Le démon le toisait d'un regard noir. Il était déçu que son amant le prît pour quelqu'un de si bête. Il savait bien qu'il n'avait pas fini ! Il avait avai seulement goûter un peu…

-Je sais bien ! Je ne pensais pas que t'embrasser était soudainement interdit. Nouvelle règle ? Répondit-il déçu.

Pour toute réponse, il reçut un coup-de-poing dans l'estomac. Sytry posa une main sur son ventre en serrant la mâchoire. Il n'était jamais content de rien ! Il devait toujours le frapper ! Il….
Ses pensées s'arrêtèrent lorsque Paimon caressa doucement sa joue le faisant vibrer de plaisir à nouveau, lui faisant oublier qu'il venait tout juste de le frapper. Le baiser sur son front suffit à chasser les cendres de sa colère. Il comprenait sa déception et sa colère lorsqu'il lui expliqua calmement. Encore une fois, il avait merdé. Il se trouvait con !

Sytry se leva. Il voulait du sang ? Ses pas félins s'approchèrent de l'homme qui se tenait la tête en gémissant de souffrance. Le démon ramassa la sacoche de la femme pour fouiller à l'intérieur. Comme il le pensait, elle avait conservé un couteau. Il lui prit. Son pied botta le front du mec sans yeux. Il tomba à la renverse en poussant un cri. Les yeux bleutés de Sytry faisaient place à un noire encre. Il laissait aller ses instincts primaires démoniaques. La lame du couteau ouvrait le ventre de la victime. Sytry plongeait ses mains à l'intérieur pour sortir les intestins faisant soigneusement attention pour que l'individu reste encore en vie.

-Tu crois qu'il va crever comment ? Questionna-t-il dans l'air comme s'il avait des spectateurs tout autour de lui. Il s'avança vers le mec qui se tordait de douleur, suppliant de crever. Le sang s'écoulait de ses plaies. De son pied gauche, il donna des coups sur le crâne de l'homme. À chaque blessure infligée, on entendait un craquement sonore. La tête de l'homme défonça.

Il ne lui restait plus que la femme. Qu'allait-il faire d'elle ? Elle continuait de manger le restant de son mari le regard allumé par la folie. Il se souvint de la demande de Paimon. Du sang, il ne voulait que ça. Il y avait un endroit que tu coupais chez l'homme pour le faire saigner comme un cochon. Il lui trancha la jugulaire. Un flot de sang l'arrosa au niveau du visage et sur son chandail sombre.

-Était-ce assez saignant ? Maintenant, je peux te toucher, non ?

On pouvait ressentir une sorte d'impatience. Il attendait ce moment depuis le début de la soirée voir même plus. Il était content de ne pas avoir eu à l'observer baiser ses rapaces sans importance.

Invité

Tu le regardes alors qu'il reprend sa mission. Tu as un petit sourire satisfait sur les lèvres. Le sang ne tarde pas de gicler et tu ne peux t'empêcher de sourire largement, comme si c'était Noel. Tu regarde ton amant après qu'il aille tué sa dernière victime et tu t'approche lentement de lui. Il est fascinant, ainsi couvert de sang. Tu poses une main sur sa poitrine et ris faiblement en sentant le sang chaud sous ta main. Oui, c'était assez sanglant. Tu adores ça. Tu lèves lentement les yeux vers ton amant. Tu sembles presque remplis d'innocence. Tes yeux pétillent d'excitation et de plaisir à l'idée de tout ce que va te faire ton amant. Tu de dresse sur la pointe de tes pieds pour lui voler un doux baiser pour le récompenser de son spectacle avant de t'appuyer contre son torse.

-Voilà donc un preux chevalier... Me sauver de ces terribles vermines humaines. Tu es digne de ton roi. Je t'offre une récompense digne de ce nom. Mon corps... Alors... maintenant que tu m'as tout à toi, que vas-tu me faire, hm? J'ai tellement hâte de savoir. Tu ne vas pas me décevoir, hein? Je n'ai pas envie que tu me déçois... j'ai attendu ce moment longtemps. Fais moi rêver Sytry... mais une fois à la maison. Je n'ai pas envie de faire ça comme un animal dans un buisson sur le bord de la route... Ramène nous à la maison

Tu lui souris tendrement avant de lui prendre un nouveau baiser, beaucoup plus avide et passionné que le précédent. Tu restes un moment contre lui, savourant le goût de ses lèvres sur les tiennes, son odeur mêlant sueur, sang et sexe et ses muscles fermes sous ton corps. Sytry est fait pour toi... et tu es fait pour Sytry. Il deviendra ton conseiller le plus cher quand tu seras roi, c'est décidé... Il sera ton bourreau, ton conseil et ton preux chevalier tuant la veuve et l'orphelin. Tu souris à cette pensée avant de finalement te détacher de ton amant et retourner à la voiture, du côté passager cette fois. Tu attends patiemment que ton amant de rejoigne et commence à conduire avant de tourne ta tête vers lui et l'observer tout le long du voyage.

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Ses yeux à nouveau bleutés fixaient Paimon avec impatience. Il avait juste hâte de profiter de lui et d'oublier toutes les merdes du moment. Être juste dans ses bras. Pur bonheur. Son amant s'avançait vers lui avec une lenteur assurée. Sytry ne bougeait pas d'un poil en attente du verdict. Un sourire éclaira son visage lorsque la main de Paimon le toucha avant de rire. Il était mignon quand il riait de cette façon. Leur regard se croisa avant que son amant l'embrasse à nouveau. Son cœur noir se réjouissait de ce moment fièrement gagné. Des étoiles de fébrilité clairsemaient ses yeux. Lorsqu'il s'appuya contre lui, il posa ses bras autour de lui.

Suite à ses paroles, Sytry pencha la tête pour lui chuchoter à l'oreille.

-Je te ferais tout ce que tu mérites. Tu ne voudras plus sortir du lit. Mais, je garde ça en surprise. C'est bien mieux de découvrir que de le dire.

Il lui mordilla le lobe d'oreille. Leurs lèvres s'entremêlèrent encore. Sytry passerait l'éternité à l'embrasser. Ce démon le rendait dingue. Il l'adorait trop. Il lui caressait le dos de ses mains. Des papillons flottaient dans son ventre. Paimon était l'homme de sa vie, c'était un vrai homme.
Il enleva ses bras lorsqu'il le sentit se détacher de lui. Il se dirigea dans la voiture. Sytry le suivait de sa démarche féline. Il entrait côté conducteur.

La voiture s'engagea sur la route abandonnant les rats sur le bas-côté. L'engin fit un demi-tour pour être sur le bon chemin de la maison. Le trajet lui semblait long tellement qu'il avait hâte de profiter de Paimon. Tellement longtemps qu'il n'avait pas pu. Il avait presque envie de le prendre dans la voiture. Il se contenait avec difficulté. Le désir envahissait ses tripes.

Il stationna la voiture dans l'allée en souriant. Il débarqua et se dépêcha d'ouvrir la portière à son amant. Il le ramassa pour le porter jusqu'à la maison. Une fois entré, il gravit les escaliers en se mordillant les lèvres. Il déposa Paimon sur le lit. Enfin ! Son corps explosait d'envie.

Sytry embarqua sur le lit pour se poser au-dessus de son amant. Il l'embrassa avec passion. Ses mains dénouaient la cravate de son amant. Il la jeta par-dessus bord en s'attaquant à sa chemise. Ses lèvres descendirent dans sa gorge. Son odeur enivrait ses narines et contribuait à son excitation. Le veston et la chemise s'envolaient sur le plancher. La bouche de Sytry se dirigeait sur son torse, l'embrassant avec douceur tandis que ses mains s’appropriaient ses pantalons.

Il le déshabillait comme si on développait un cadeau. Il était prêt pour l'action et le plaisir.

Invité

Tu te plonges dans tes pensées quand vous vous retrouvez dans la voiture. Tu regarde devant toi sans vraiment voir. Tu mordilles ta lèvre distraitement, tes doigts pianotant sur tes jambes alors que ton esprit tente d'anticiper, de visionner en avance ce que ton amant te réserve. C'est peine perdu, tu le sais. Tu ne peux pas, ou veux pas, savoir ce qui va t'arriver une fois que vous serez dans la chambre. Et pourtant, toi qui déteste être pris par surprise, tu aimes ça. Tu aimes cette incertitude, le fait que tu ne peux rien contrôler. Que Sytry est le seul maître à bord. Un sourire se dessine sur tes lèvres avant de secouer la tête doucement. Tu reviens à la réalité alors que la voiture s'arrête. Tu regarde ton amant sortir pour aller t'ouvrir la porte. Un vrai gentleman, ça commence bien. Tu n'as même pas le temps de te lever que te voila dans ses bras, porté comme une princesse. Tu es à la fois gêné et énervé. Après tout, tu es capable de te déplacer par toi-même! Et pourtant... tu entoure le cou de ton amant avec tes bras avant de déposer ta tête sur son épaule. Tu souris un peu plus, te sentant bien, en sécurité, tout puissant contre lui. Comme si tu pouvais mettre le monde à tes pieds. Tu le peux... Tu sens ton dos toucher une surface douce et tu te laisses t'étendre sur le lit. Tu profite un moment de ce repos avant que Sytry te rejoigne. Avant qu'il ne t'embrasse et te dévête avec passion. Tes bouts de vêtements virevoltent partout dans la pièce et tu gronde un peu pour le mettre en garde. C'est de la haute couture! Il devrait faire plus attention... Heureusement que ses lèvres sont sur toi. Ça t'aide à le pardonner. Sa bouche descend encore, caressant ton torse. Ça te fait frémir doucement de plaisir et d'excitation. Tu lève le bassin quand ses mains touchent ton pantalon et te frotte un peu contre lui. Mais qu'est-ce qu'il attend? Tu le regarde un instant avant de redresser sa tête et l'embrasser encore et encore et encore. Jusqu'à ce que tu n'aille plus de souffle

-Arrête... arrête de me faire attendre. Enlève moi ses vêtements et occupe toi des tiens... J'ai...! Hm...

Tu te tais en te souvenant que c'est lui qui a les reines pour ce soir. Tu te refrogne un peu avant de caresser ses cheveux et essayer de te détendre, simplement profiter du fait que ton amant prend son temps pour te redécouvrir et t'exciter. Même si le meurtre des deux humains avait fait le travail...

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Lorsque ses mains s'agrippèrent au pantalon de son amant, il leva son bassin pour se frotter contre lui allumant encore plus sa flamme. Il lui redressa la tête pour l'embrasser. Sytry ferma les yeux en s'appropriant aussi les siennes. Rapidement, Paimon montra son impatience. Un sourire mesquin apparu sur les lèvres chaudes du démon pour toute réponse. Ses mains reprirent leur mission de dés-habillement, mais cette fois-ci, il se pressa. Il rejeta les pantalons, boxers, chaussures, bas à un temps trois mouvements. Il se déshabilla ensuite aussi d'une rapidité surprenante dévoilant ses muscles et son corps tout chaud. Ses yeux dévorèrent son amant.

Ses mains glissèrent sous son fessier pour le lui caresser tandis que ses lèvres pulpeuses embrassèrent son bassin tout en descendant dangereusement dans la zone sensible. Il descendit une de ses mains vers son trou. Sytry n'était pas une brute qui allait défoncer le trouduc de son amant. Non, il le préparait pour qu'il puisse aussi profiter du plaisir. Il commença par entrer un doigts à l'intérieur et le bouger. Sa bouche effleurait son sexe juste assez pour l'exciter. Une fois que le corps fut habitué, il pénétra un deuxième, puis un troisième. Une fois que sa main complète réussi à passer, il se releva pour se placer dessus son amant à nouveau. Ses yeux dardaient de plaisir.

Il le pénétra en tenant ses mains contre le matelas. Un sourire coquin se formait sur ses lèvres. Sa bouche revint à la charge dans son cou tandis qu'il donnait des coups de bassins. Le plaisir montait en lui telle une onde électrique, parcourant ses muscles, sa peau et son cœur. Il embrassa son menton et sa gorge en allant de plus en plus fort et loin. Il adorait être dans cette position de force, d'avoir rien que pour lui Paimon sous son corps chaud.

Invité

Malgré qu'il soit en charge, ton amant semble se presser un peu plus qu'avant. Tu as un petit sourire satisfait quand tu te retrouves enfin débarrasser de ses stupides vêtements. Tu te sens à l'aise dans ta tenue d'adam, si tu peux vraiment appeler ça comme ça. Tout aussi rapidement, ton amant se retrouve nu au-dessus de toi. Sans vraiment y réfléchir, tes doigts parcours ses muscles, les détaillent lentement, faisant le tour de chacun avec un petit sourire amusé. Tu lèves les yeux vers Sytry, le regard enflammé de désir. Tu veux plus que regarder maintenant. Tu veux sentir, tu veux le vivre! Il semble comprendre ton message parce que ses mains glissent sur tes fesses avant de se diriger vers ton anus. Tu frémis et gémis un peu en le sentant te pénétrer d'un doigt et un autre et encore. Tu tes sens tellement bien. Tu en voudrais encore plus, tu prendrais tout ce que Sytry pourrait te donner sans aucune hésitation. Ce démon est capable de te rendre fou... sans même user de ses pouvoirs. C'est sans oublier ses lèvres. Ses satanés lèvres qui se promène sur ton corps, ton sexe, juste pour te titiller, le faire vibrer de désir et d'anticipation. TU EN VEUX PLUS! Tu arques désespérément le dos, cherchant n'importe quoi, n'importe quelle type de friction pour te soulager, mais rien... Ton amant semble satisfait de sa préparation puisqu'il te laisse complètement vide, désespéré, désireux. Tu le regarde avec tous ses sentiments et gémis presque de pitié. Tu le veux en toi, tu veux le sentir bouger, tu NE VEUX PLUS ATTENDRE! Et encore une fois, comme s'il pouvait lire tes pensées, il entre en toi. Tu pousse un long râle de plaisir et de soulagement. Il t'approprie sans aucune hésitation et tu adores ça. Tu le laisse faire ce qu'il veut de ton corps, ne pouvant t'empêcher de gémir, de râler, de frissonner de plaisir. Même Lucifer ne t'avait jamais donner un tel plaisir. Sytry est unique. Sytry t'appartient. Et tu es heureux de cette propriété. Pendant un moment, tu laisses tes mains sur le côté de ton corps, mais rapidement, ce n'est plus assez. Tu as besoin d'agir toi aussi. Tu lèves les bras, parcourant le corps de ton amant, caressant chaque recoins que tes doigts peuvent atteindre. Et tu l'embrasse. Mon dieu, oui, tu l'embrasses. Tu en perds le compte tellement que tes lèvres sont accrochées à sa peau. Tes jambes autours lentement le bassin de ton Sytry pour le tirer en toi. Tu frémis de plaisir alors que tu pousses un hurlement encore plus fort

-Bon sang, Sytry... Tu... es un dieu. Continue... Plus... plus vite, ouI! Parfait... tu es parfait... mon Sytry.

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Il adorait le sentir vibrer d'excitation sous lui juste au passage de ses caresses. Le sentir gigoter pour en avoir plus faisait plaisir au démon. Aux yeux de Sytry, c'était important que son amant appréciait son dessert, ce moment intime. C'était leur privilège. Le petit son qui sortit de sa bouche avant la pénétration lui fit un baume au cœur. Chaque réaction de Paimon l'excitait encore plus le faisant battre son corps en lui de plus en plus vite et fort. Ses caresses sur son corps augmentait ses jouissances et surtout ces baisers qui le rendaient dingues. Des spasmes de plaisir parcouraient tous ses membres un à un. Ses doigts se crispèrent. Il en perdait la tête. C'était le pure paradis démoniaque. Lorsque ses jambes entouraient sa taille, il poussa à son tour un gémissement de plaisir se sentant entré plus loin en lui. Les paroles de Paimon enfla son âme de fierté, de plaisir caressant son ego interne. Ses yeux brillaient comme un miroir reflétant le soleil.

Sa bouche s'appropriait son mamelon droit, sa langue tournoyait autour de manière experte. Il mordillait un peu avant de retourner aux plaisirs des caresses. Sytry savait comment s'y prendre au lit. Il n'était pas séduisant pour rien. Ses hanches continuèrent leur cadence endiablée. Il voulait le rendre complètement fou, comme il lui avait promis, il ne voudrait plus sortir du lit. Ses mains se placèrent sous ses fesses pour les caresser. Il explosait déjà de plaisir, mais se retenait. Ça serait dommage de terminer ce dessert trop rapidement. Il ne voulait pas décevoir Paimon. Pas au lit, jamais! Surtout pas lorsqu'il dominait la situation pour une rare fois. Il profitait de lui. Sa chair lui appartenait.

-Oh… Mon roi… tout est à toi

Simple phrase faisant écho à son fantasme. Tout le monde savait que le fantasme durant le sexe augmentait le plaisir. Sytry s'en servait pour monter leurs ébats à une échelle plus haute. Il s'arrêterait seulement lorsque son amant le lui dirait.

Invité

Tu gémis en sentant sa bouche sur ton torse, ton mamelon. Tu l'observe faire un moment, le regard fiévreux de plaisir et d'excitation avant de sourire faiblement. Oui. Sytry était un bon choix. Loyal, obéissant, merveilleux... tu ne pouvais pas demander mieux. Et il semble tellement heureux ainsi, te prenant comme un vrai homme. Il semble aimer sa position de pouvoir et en profiter. Tu aimes bien ça. Même si tu ne l'avoueras à personne, toi y compris, tu aimes prendre soin de Sytry, lui donner ses petits instants de plaisirs qui pourraient être insignifiants pour certains, mais toi... toi tu sais que Sytry les savoure pleinement. Une de tes mains vient saisir ton sexe que tu caresses au rythme du bassin de ton amant. Tu veux craquer, tu te sens si près, et pourtant, tu résistes. Tu veux garder ton démon en toi le plus longtemps possible. Tu veux le sentir bouger en toi toute la nuit. Tu veux le voir ainsi, au dessus de toi, bougeant son bassin comme un dieu, comme personne! Tu fermes lentement les yeux, mettant toute ta concentration sur les sensations que tu ressens. Mais, sans que tu le veules, l'image de Lucifer remplace celle de Sytry et tu rouvre les yeux en panique. Tu restes un moment sous le choc avant de remédier rapidement à la situation. Sytry doit se douter de rien. Tu saisie une de ses mains que tu déposes sur ton sexe avec de le regarder et le supplier tendrement

-S'il te plaît, Sytry... Aides... moah! à venir, tu ne vas... pas... ah!.. le regretter. Je ferais... je... merde, c'est trop bon! Je... je ferais tout pour toi... tu n'as qu'à... qu'à bouger la main... s'il te plaît, fais çah! pour moi... mon cher. Je sais que... que... tu... tu es doué pour ça... hm! Tu es doué pour tout. Tu es le meil... meilleur après tout... fais ça pour moi...

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L'excitation parcourait tout son corps faisant un écho jusqu'à dans sa tête. Il continuait les caresses sans pour autant réduire sa cadence. Paimon était la seule personne avec qui il adorait le faire. Il pouvait remplir tous ses fantasmes et caprices sexuels avec lui. Il se mordillait les lèvres pour se concentrer, se retenir. Il ne voulait pas briser ce moment si précieux et si rare. Lorsqu'il termina d'attaquer son mamelon, son amant lui fit une demande un peu étrange et cocasse. Mais, ça ne l'étonnait pas vraiment venant de son cher Paimon. Un sourire moqueur se dessina sur ses lèvres. « Pourquoi il a de la misère à venir? Je ne suffis pas...? » La question se posait. Il en était un brin déçu puisque de son côté, il était prêt à l'explosion et aux artifices. Sa main gauche se saisit du sexe de son amoureux en l'observant de son regard de feux. Ses doigts longs branlèrent à deux reprises son engin avant de masser délicatement son freint à la base de son sexe. Sachant que c'est une zone sensible, il y allait doucement tout en continuant de pénétrer en lui. Sytry se mordillait les lèvres vibrant de plaisir. Il déposa ensuite une certaine pression en recommençant le geste du balancier de haut en bas et de plus en plus rapide. Ses lèvres allèrent caresser sa gorge. Trois zones attaqués. Ça devait être assez pour le faire mourir de jouissance!
Il monta sa bouche vers son oreille pour le lui mordiller sans lâcher son engin ni sa cadence.

-Si tu n'arrives toujours pas à jouir… je vais me poser des questions chuchota-t-il à son oreille taquinement. Même s'il s'inquiétait un peu sur sa façon de faire… Peut-être que finalement, il s'y prenait mal… Sa main descendit doucement vers ses testicules, il les pressa doucement en poussant des sons coquins. Complètement excité, il posa sa tête sur l'épaule de Paimon en continuant son massage et sa pénétration.

Invité

Tu es attaqué de toute part et tu adores ça. Tu te laisse faire en gémissant et en savourant chaque geste que ton amant de fait. Si tu avais plus de moral, tu t'en voudrais d'avoir diverger tes pensées vers un abrutie, mais tu es toi. Et tu préfères terminer cela sans plus rien penser qu'aux sensations. Sa main accélère. Ton cœur aussi. Tu es à bout de souffle, tu es si près... si près. Tu regarde Sytry, un peu énervé qu'il ose te critiquer sur le temps que tu prends à jouir. Tu n'es pas comme monsieur, toi. Tu ne viens pas en cinq minutes. Tu lui mords la lèvre pour le remettre gentiment à sa place avant de gémir. Bientôt... bientôt, tu le sens. Juste encore une petite minute. Tu es tellement bien ainsi. Tu as l'impression d'avoir toute son attention, tout son dévouement. Le sentir aussi près de toi, aussi chaud, aussi grand. Il semble prendre tout ton corps en otage et tu te laisses faire avec un immense plaisir. Tu le laisses profiter de toi jusqu'à ce que tu ne peux plus et tu te libères en gémissant son nom longuement, la tête renversant vers l'arrière et ton dos se arquant. Ça fait un bien fou et tu en profites pour embrasser longuement ton amant, jusqu'à ne plus avoir de souffle. Il ne devrait plus tarder lui non plus... Peut-être que, finalement, c'est lui qui a besoin d'aide.

-On dirait que c'est... toi... qui as des... des difficultés. Fais... fais vite! Ah!... Avant que je bande à nouveau... tu... tu ne voudrais... quand même pas... me faire l'amour... toute la nuit, hm?

Tu as un large sourire pervers, mais aussi désireux. Ça pourrait amusant. Rester littéralement au lit toute la nuit, bougeant dans cette danse exotique et merveilleuse. Oui, tu aimes bien l'idée. Mais tu as besoin de travailler demain et tu n'as pas envie que les gens remarquent ce que toi et ton amant avez fait la veille

Invité

L'inquiétude sur sa maîtrise sexuelle s'évaporait à un souffle en le voyant se tortiller de plaisir. Paimon lui mordit à nouveau les lèvres à sa remarque. Sytry laissa échappé un petit son de plaisir. Il était de ceux qui aimait jouissance et un brin de douleur au lit. Un petit peu de masochisme (uniquement avec son cher amant). Entendre Paimon gémir son nom lui fit chaud au coeur tandis qu'il sentit son écoulement sur sa cuisse. Sytry fermait les yeux en posant sa tête contre Paimon pour sentir toutes les sensations de plaisir grimper en lui. Il sourit à la remarque de son amant, il faillit lui répliquer que s'il ne l'avait pas se retenir si longtemps, il n'aurait pas de difficulté à laisser son corps dériver dans le plaisir absolue. Le baiser de Paimon enfla à nouveau sa juissance, son engin explosa à son tour en regardant dans les yeux son Paimon. Il se laissa tomber à ses côtés.

-Je faisais exprès de pas venir toute suite espérant, oui, t'avoir pour toute la nuit. Tu peux pas m'en vouloir de te désiré. Dit-il en cousant à moitié un mensonge. En fait, il avait eu un peu de misère à cause de sa retenue, mais c'était vrai qu'il n'aurait pas dit non à le faire toute la nuit.

Sytry l'embrassa dans la gorge avant de se laisser soupirer à côté. Son corps encore tout chaud en voudrait tellement plus. Il finit par se lever pour aller se doucher. Pas question de passer la nuit tout collant et être au boulot avec une odeur de cul.

Il revint le corps sentant l'oriental boisé faisant penser à une évolution de mystérieuse d'ombre et de lumière. Nouveau parfum qu'il avait acheté. Il portait uniquement un boxer. Ses cheveux mouillés lui retombaient sur son visage. Sytry se coucha auprès de son amant complètement comblé.

Que ferait-il sans lui ?

[Fin, merci pour ce RP, c'était super x) ]

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Tu le sens venir en toi et tu fermes les yeux pour profiter de la sensation. Tu as un petit sourire satisfait sur les lèvres et pousse un long soupire de plaisir. Tu rouvre lentement les yeux pour observer ton amant qui se couche à côté de toi. Tu reste immobile, le détaillant du regard avec intérêt. Tu ris faiblement en l'entendant et le regarde tendrement. Non, tu ne peux pas lui en vouloir de te désirer. Tout le monde te désirs. Tu es si parfait après tout... Et bientôt roi en plus. Qui ne pourrait pas te vouloir dans son lit. Tu le regarde se lever pour aller se doucher et tu le laisse faire. Marcher pour aller se doucher, quelle perte de temps. Tu te téléportes dans une de tes salles de bains et prends une douche rapide, seulement pour enlever les semences et l'odeur. Tu te sèches rapidement avant de te retéléporter dans le lit, comme si rien n'était. Tu as un petit sourire en voyant Sytry revenir. Il devrait apprendre à économiser son énergie. Marcher, c'est pour les paysans. Lui, il est tellement plus important... Il est presque comme toi. Presque... Tu te me de travers et dépose ta tête sur le torse de ton amant, comme s'il était un oreiller. Tu fixe le plafond sans un mot avant de sourire faiblement

-Tu as un nouveau parfum, dis-moi... Tu sens agréablement bon. Moins que le sexe, mais... plus... adéquat pour la société. Tu me donnes envie de te croquer... Mais pas ce soir. On a une importante journée demain et tu m'as déjà assez fait perdre mon temps comme ça. Hm... J'espère que tu recommenceras bientôt... Bonne nuit, Sytry. Fais de beaux rêves~

Tu fermes lentement les yeux et t'endors contre ton amant, les mains jointes sur ton ventre. Ta respiration ralentie et tu soupire de bien-être. Tu n'aurais jamais pu avoir tout ça en étant rester auprès de Lucifer. Jamais. Tu prends le contrôle de ta vie maintenant et tu peux te permettre tout ce que tu désirs. Et ça... ça c'est une autre raison pour vouloir la tête de Lucifer. La liberté. Le contrôle. La puissance sur les destins d'êtres insignifiants. Mais surtout... sur ta vie.

» Parle moi de toi, Ô cher ''papa'' [Ft Lucifer]
» L'information, c'est le pouvoir[Terminer]
» Did You Miss me ? Just A Little Visit [Terminer]
» Sale soirée pour moi [Ans]

[+18]Soirée arrosée mon cher [Terminer]

Soirée arrosée mon cher

Mon charmant amant...

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