En voyant le message de Paimon, il ne voulait pas rentrer. Il se doutait qu'il avait su. Il ne savait pas comment, mais la honte lui pesait encore plus sur ses épaules. Ce crétin de lulu qui avait réussi à le blesser encore plus, laissant ses marques indélébiles dans sa faiblesse secrète. Malgré tout, il ne désirait pas attiser la foudre et se téléporta dans la maison près à l'affronter. Son regard sans émotion le laissa perplexe. Mais, il était heureux. Le souvenir que Lucifer lui avait implanté était vraiment faux. Il n'était pas mort. Un soupir s'éclipsa de sa bouche avant que son corps s'agenouille devant lui avec honte. Elle creusait en lui, lui tordant les tripes. En écoutant son amant, il sut qu'il savait malgré son silence de lui révéler cette situation horripilante. Il baissa les yeux. Ses poings se serrèrent. Il détestait le décevoir. Surtout de cette façon. Pourtant, il s'était tellement bien… non pas vraiment. Il avait seulement bien tenu tête à Lulu… Il grimaça à cette pensée.

La main de Paimon qui lui caressait les cheveux lui enleva au moins l'affreuse sensation du toucher de Lulu dans sa tête et son corps. Il n'osa toujours pas croiser son regard. Seulement, sa main leva son menton l'obligeant à le toiser.

-Comment tu as… su ? Je… Je lui ai bien tenu tête. J'ai fais mon possible. Mais…

Il s'arrêta. Il ne désirait pas lui livré que Lucifer avait touché son abîme en lui. Sa partie finie. Non, il ne voulait pas que son cher Paimon connaisse cette faiblesse en lui. Trop peur qu'il ne veuille plus de lui.

-Mais, tu sais bien c'est notre sale créateur. On peut rien faire de notre main. J'ai eu beau tenté de rentré dans sa tête ou bien le brûler, nada. Je me suis pas laissé marcher dessus sans rien faire !

Bizarrement, il se trouvait ridicule à tenter de s'expliquer. Il se tut en étant obliger de croiser son regard. Il espérait que ça effacerait le poids de la honte.

-Oui, tu peux commencer se résigna-t-il. Il ne voulait pas s'embourber plus dans ces explications. Paimon était intelligent, s'il continuait ainsi, il allait percé la faille.

Sytry n'aimait pas son regard. Il avait envie de disparaître. Il se questionnait sur le comment il avait bien pu savoir. Dès qu'il le relâcha, il baissait son regard vers le plancher en s'imaginant s'y fondre. C'était chiant de devoir affronter deux humiliations, l'une après l'autre. Paimon finit par s'accroupir devant lui avant de lui répondre sur un ton qu'il n'appréciait guerre. Sytry faillit répliquer lorsqu'il lui dit qu'il criait comme une fillette. Pardon? Avait-il déjà subit au moins UNE FOIS une torture provenant de Lucifer ? Comprenait-il l'impossibilité de leur pouvoir sur lui ? Son sang battait fort à ses temps, ses lèvres se pincèrent à un rictus agacé sans néanmoins osé le regarder. Parlementer ne servirait à rien. Il se calerait plus. D'un côté, tant mieux, Paimon n'avait pas eu lui au moins à souffrir de cet affront face à Lulu. Il avait une chance de briller à la place de leur créateur. Et puis, il ne doutait pas de la supériorité de son cher amant sur Lulu. Ses pensées se coupèrent lorsque son amant caressa sa joue avant de le frapper. Sa main se porta vainement à sa joue tandis que son regard s'assombrissait.

Les prochaines paroles de son amant lui poignardèrent le cœur. Représentait-il seulement ça? C'était révoltant, décourageant. Ses poings se fermèrent et ses narines frémissaient. Malgré tout ce mal, il ne pouvait le haïr. Son regard de corbeau l'attirait. Même en cet instant précis qu'il était entrain de le malmener, il se sentait entre de bonnes mains. Il le trouvait admirable et beau dans sa splendeur. Sytry soupira désespéré avant de monter le ton de sa voix.

-NON! Il ne m'a pas brisé. Il m'a jamais brisé! Je ne suis pas un PUTAIN de jouet ! Tu vas pas t'y mettre aussi ?! Je dois comprendre que je te suis juste un pion ? Un bas de gamme qui est à tes côté juste pour tuer ?

Il ne voulait pas y croire. Un rictus de colère animait ses lèvres. Il fronça des sourcils. Oui, il voulait paraître toujours le même qu'il avait été. Le Sytry d'avant les siècles de torture sans cet abîme en lui. Mais, il se sentait misérable. Même Paimon le voyait comme un jouet usé… Il se remémora la voix de Lucifer qui le traitait de jouet. Il secoua la tête en fixant le sol. Non, Paimon ne pouvait pas le prendre pour ça. Pas lui. Impossible. Pas son cher amant. Il préférait souffrir physiquement que devoir entendre ses propos pire que rabaissant.

Son regard figé sur le sol, il tentait de redevenir maître de lui. Il se noyait dans les tuiles du plancher, les comptait mentalement. Il ne voulait pas garder à l'esprit le fait que Paimon le prenait pour une merde(c'était ce qu'il croyait). Ça l'énervait. Ses poings s'obstinaient à rester fermer blanchissant ses jointures. Une douleur irradia au niveau de son ventre. Il serra la mâchoire sans lui donner la satisfaction de le voir souffrir. Il préférait paraître sans tâche et fort. Puis, enfin, la douleur partie le laissant desserrer sa bouche qui commençait à le faire souffrir aussi.

Son amant revenait à la charge sur le fait qu'il était brisé. Non. Il ne désirait pas que Paimon le voit ainsi. Il préférait qu'il conserve la belle image du meilleur ténébreux. De l'être sans faille aussi polie qu'une statuette en or. Pas lui, avec cette abîme au fond de ses tripes.

-Je dois te le répéter en quel langue? Tu dois bien le savoir que je ne suis pas brisé. Je vaux mieux que tous ses rats.

Pourtant, il ne le regardait pas. Il devait s'avouer qu'il adorait un être qui le prenait pour un rien. Cette idée le crispa, mais son dos restait droit comme un piquet. Peut-être que s'il parvenait à nuire à Lulu, Paimon le chérirait à nouveau ou pour vrai ? Lui avait-il menti ? Avait-il toujours été un rien à ses yeux? Sa voix logique lui soufflait que c'était impossible. Mais, une voix profonde lui hurlait d'arrêter ses illusions. Tant pis, il profiterait d'avoir au moins le privilège d'être sa propriété, de pouvoir admirer son regard de corbeau comme il le souhaitait, d'avoir des relations charnelles avec ce démon resplendissant. C'était déjà beaucoup. Et il renoncerait jamais à ça.

Paimon continuait à le torturer avec ses paroles qu'il ne désirait pas entendre. Ne pouvait-il juste se contenter de le frapper, de le réduire en bouilli ?

-Pourquoi le saurais-je si toi-même tu ne le sais pas ? Et d'ailleurs, je me le demande bien aussi. Je ne suis qu'un pion pour toi.

Il soupira en relevant enfin son regard pour le poser directement dans le sien.

-Mais, ce que je sais. C'est que je t'ai choisi, toi. Que peut m'importe si tu me vois comme une merde et que tu me jetteras dès que tu auras ta couronne. C'est toi que je veux. Je serais toujours ton épaule. Peut-être qu'on pourra dire que je suis idiot. Je m'en fiche.

Il continuait de l'observer sans ciller. Jamais, Sytry ne lèverait la main sur son amant ni même utiliserait son pouvoir sur lui. Il acceptait son rôle de soumis et pouvait même ne retirer un certain plaisir. Le seul qui pouvait le malmener sans qu'il bronche.

Son regard bleuté contemplait celui de Paimon. Lui aussi, l'observait. Un silence pesant s'installa dans la pièce. Sytry ne bougeait pas en attente d'une quelconque réaction. Avait-il dit quelque chose de mal? Pourtant, les beaux yeux de son amant ne semblaient pas être accusateurs ou frustrés. Il glissa ses yeux vers les doigts de Paimon qui s'agitaient sur le fauteuil. Un petit doute le traversa, mais il ne détacha pas pour autant son regard du sien. Il joua avec ses doigts.

Soudainement, il lui fit signe de s'approcher. Hésitant, il se leva pour se rapprocher de lui. Il sentit sa main lui caresser la tête. Un soupir de soulagement s'éclipsa de ses lèvres. Il le laissa lui prendre son visage et l'approcher de lui tout en l'écoutant. Il resta surpris en apprenant qu'il était son point faible. Cette révélation inattendu le flattait et le réconfortait. Il était con d'avoir pu douter un instant que Paimon le prenait pour un rien. Il avait bien fait son choix. Sytry n'arrivait pas à croire que son amant lui avait avoué ça. Une détermination pouvait se lire sur son visage. Maintenant qu'il savait qu'il était son point faible, il ferait en sorte d'être inatteignable par personne. Oui, comme il le disait si bien. Plus personne ne le blessera, même pas Lulu. Il devait faire en sorte d'être un bon pilier.

Sytry resta bouche-bée lorsque Paimon lui murmura que si quelqu'un lui faisait du mal qu'il irait les torturer même s'il devait perdre sa couronne… Son cœur noir fit un bond dans son estomac. Pour la première fois de sa vie, il rougit. Oui, le seul être du monde qui avait pu le gêné et le touché à ce point fut bien sûr son amant.

-Ça ne se reproduira jamais. Je ne pourrais jamais me passer de toi si longtemps. Répondit-il avant de se lever et de se placer devant lui. Il posa chacune de ses mains sur les avants-bras du fauteuil tout en se penchant vers Paimon.

- Je ferais en sorte que plus personne puisse m'atteindre pour que personne puisse te toucher. Je mourrais pour toi, tu le sais. Bélial, cet incompétent, ne peut rien me faire. Lulu, je tâcherais de le faire payer et ne pas le laisser me toucher. Plus jamais. Désolé de t'avoir déçu. Ça ne se reproduira plus. Et si quelqu'un ose te faire mal, je le détruirais.

Il le regarda un moment dans les yeux avant de se pencher vers lui pour l'embrasser avec passion. Ses propos lui avait donné le goût fou de l'étreindre. Il le relâcha et se recula d'un pas.

-Oh, si on va sur les bonnes nouvelles. J'ai convaincu un sorcier de la médiocrité de Lulu et de ta grandeur. C'est toujours utile.

Il espérait que cet effort ferait plaisir à Paimon. Sytry contourna le fauteuil pour placer ses mains sur les épaules de son amant, il les lui caressa pour lui faire un massage. Il désirait le défigé, lui faire plaisir.

Il lui massait les épaules espérant lui faire plaisir. Ses mains glissaient sur sa peau de haut en bas avec délicatesse. Après quelques aller-retour, il y mit une petite pression. Il pétrissait ses muscles du bout des doigts en se mordillant les lèvres. Un petit silence s'installait dans la maison. Ce n'était pas le silence désagréable. Non, on ressentait le moment intime. Précieux. Il appuya les paumes de ses mains pour faire relâcher les muscles sous sa peau.

Sytry étira un sourire coquin en le voyant se retourner pour le regarder. Il se perdit dans son beau regard sombre. Il adorait cette profondeur et cette noirceur dans les prunelles de Paimon. C'était son corbeau, son amant. Son corps se pencha, laissant son amant l'embrasser comme jamais. Il savoura le goût de ces lèvres qu'il dévorait toujours avec plaisir. Une fois le baiser terminer, son amant lui partagea ses envies.

Il contourna à nouveau le fauteuil de sa démarche féline pour se placer devant lui. Il dénoua sa cravate autour de son cou la laissant tomber au pied de Paimon. Il enleva son veston pour le jeter sur l'autre fauteuil. Déboutonna lentement sa chemise qui dévoilait ses muscles. Sytry arrêta son déshabillage là, se penchant à nouveau vers son amant pour lui caresser la gorge de ses lèvres. Il descendit jusqu'à sa clavicule avant de remonter pour se saisir de ses lèvres chaudes. Ses mains lâchèrent le fauteuil pour les poser sur les cuisses de son amant. Elles se crispèrent là en attente. Ses lèvres remuaient avec passion avant de l'embrasser à nouveau dans la gorge. Il pouvait sentir les battements de cœur de son corps sous sa bouche. Son odeur toute particulière enivrait ses narines. Il ne serait tellement rien sans lui. Il ne laisserait personne le toucher ou lui faire. Il adorait être sa chose, sa possession, sa pute.

-Qu'est-ce que tu désires mon roi ? Lui souffla-t-il à l'oreille.

Suite à la demande de son cher amant, Sytry lui dévoila lentement son torse. Il sourit lorsqu'il sentit la main de Paimon sur lui. Les yeux brillants, il s'approcha pour lui faire milles caresses. Serrant ses cuisses entre ses mains. Paimon siffla avant de lui prendre ses mains. À ce moment-là, si Sytry avait été un chat, il ronronnerait en s'en briser les cordes vocales. L'intérieur de ses cuisses se réchauffèrent lorsque son amant lui embrassait les doigts. Elles s'humidifièrent quand il lui prit ses poignets dans une seule main en lui caressant le visage de l'autre. Il hocha la tête à ses premières paroles. Il était sûr aussi qu'ils y arriveraient. Ce n'était qu'une simple question de temps. Il sentit le souffle chaud sur son oreille lorsqu'il écouta en se mordillant les lèvres son désir. Sytry aimait être désiré ainsi. Il se sentait électrisé et brûlant de désirs. Toute sa chair murmurait l'envie d'en avoir plus. Il se saisit des lèvres de Paimon, l'embrassant avec passion avant de se lever avec sa grâce féline.

Il se plaça à nouveau devant Paimon. Il contait bien lui faire plaisir. Doucement,il glissa le tissu de ses épaules, les reculèrent en arrière pour laisser tomber sa chemise à ses pieds. Son regard bleuté s'ancrait dans les prunelles de son amant. Une marrée d'étoile tourbillonnait dans ses yeux. Ses iris se dilataient. Il humecta du bout de la langue sa bouche aux contours mou. Ses mains descendirent lentement. Ses doigts caressaient sa peau au passage, s'attardaient à ses mamelons avant de flatter les lignes de son bassin. D'un pressement, il déboutonna son jeans. Dézippa progressivement le zipper laissant entrevoir son boxer noir. Il ne bougea plus restant en suspens-un temps-.

Il commença à descendre ses pantalons, puis les remonta d'un son coquin. Il se mordillait les lèvres en observant Paimon. Il désirait que le déshabillement prenne du temps, il l'écoutait. Comme Paimon le comblait! Il se perdit-un temps-dans le regard noir corbeau de son amant. Il s'y sentait aspirer et apaiser. Oubliant son abîme en lui et tous ses tortures d'autrefois durant-un temps-.

-C'est assez lent pour toi ? Tu as le plus beau corps à tes yeux. Profites-en. Lâcha-t-il sur un ton espiègle en dandinant des fesses sur place.

Il se sentait comme un cadeau entrain de se faire déballer. Paimon connaissait son corps par cœur, il n'avait plus de surprise, mais il pouvait faire l'exciter en le faisant envier, patienter. Il avait hâte de voir comment son amant s’appropria son corps cette fois-ci. Ça l'amusait se laisser dominer par son cher amant, le laisser manier son corps sans broncher.

Il l'entendit pousser un son de mécontentement lorsqu'il remonta ses pantalons. Il n'avait pas pu s'empêcher de lui jouer ce petit tour. Paimon posa ses mains sur ses hanches en l'amenant vers lui. Sytry ferma les yeux lorsque les lèvres de son amant embrassaient son bassin. Des frissons de plaisirs parcoururent son corps du bas de son cou au bas du dos. Une décharge électrique passa dans ses jambes lorsqu'il lui mordilla sa peau. Sytry rouvrit les yeux en retenant un gémissement étouffé. Il adorait ce malmenage. Il écouta Paimon en souriant espièglement tout en hochant la tête.

-Ne me donne pas envie… Tu sais que j'adore me brûler à toi.

De ses deux mains, il reprit ses pantalons qu'il fit glisser de ses jambes avec grâce. Il aimait entendre Paimon rire. C'était mignon. Il coinça sa langue contre ses dents en voyant son amant sortir son sexe.

-Tu sais que je suis toujours neuf pour toi.

Il lui adressa un clin d’œil en enjambant ses pantalons sur le sol. Il se retourna dos à son amant pour lui dévoiler la courbe de son dos jusqu'à ses fesses. Il se pencha pour le lui exposer en enlevant ses bas un par un qu'il envoya par-dessus son épaule en riant. Sytry pivota à nouveau pour être face à lui. Il l'observa se toucher avec son sourire malicieux. Il ne lui restait plus que ses boxer. Allez, il allait lui faire durer encore un tout petit peu le plaisir. Du bout des doigts, il glissa le boxer de quelques centimètres laissant apparaître encore plus ses hanches qu'il se mit à bouger d'un côté et de l'autre comme les gogoboys. Son boxer glissait lentement sur sa peau au rythme de ses mouvements avant de l'enlever complètement. Il le lança sur son amant en riant. Il adorait jouer avec le feu avec Paimon. Il voulait être pris dans ses bras et se faire caresser tout en étant un peu malmener. Un peu de maso oui.

-Si ça continue, je vais être jaloux que ton sexe est plus caressé que moi. Lâcha-t-il sur un ton moqueur.

Complètement nu, il observait son amant. Il lâcha enfin son sexe pour l'attirer vers lui doucement. Il ferma à nouveau les yeux sentant les lèvres de Paimon sur lui. Sa peau se réchauffait, s'électrisait sous ses caresses. Il se mordillait les lèvres posant ses mains sur les genoux de son amant. Sytry retenait son souffle. Il était impatient qu'il aille plus loin. Son corps fiévreux en réclamait plus. Il sourit à sa remarque. Être moue dans ce genre de situation était pire que désagréable. Sytry hocha la tête se concentrant sur les sensations qui envahissaient sa chaire chaude. Petits frissons. Au passage de ses lèvres pulpeuses sur sa peau, il sentit tout son sang afflué vers son sexe. Ses mains se serrèrent sur les genoux de son amant. Des spasmes musculaires se compressaient dans ses jambes. Il rouvrit les yeux en sentant son amant s'éloigner.

-Sadique ! Poussa-t-il à semi-moqueur.

Il n'avait pas à lui redire deux fois de se rapprocher. Il lâcha ses genoux en s'installant sur lui en moins de temps pour dire « ouf ». Sytry le laissait mener la danse. Son corps lui appartenait et il était fébrile de le voir le manier, de le sentir en lui, que leur souffle s'entrecoupe… Ses cuisses devinrent brûlante d'envie juste à ses pensées. Il se retint de lui dire d'aller plus vite en se mordillant les lèvres. Il déposa des baisers sur sa pomme d'Adam en descendant jusqu'à la base de sa gorge, là où les vêtements l'empêchaient d'aller plus loin. Il poussa un petit grognement. La chair de Paimon l'enivrait. Une odeur mystérieuse, fraîche y était en permanence. Elle était laiteuse, moelleuse. Ses lèvres remontèrent jusqu'à sa bouche à défaut de pouvoir aller plus loin. L'embrassant avec passion jusqu'à ce qu'il perd le souffle. Ses mains caressèrent le côté de ses jambes. Son impatience se faisait sentir, elle était presque palpable.